Organisations Internationales et ONG


L’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO)

Photo FAO

Création en 1945

Siège : Rome (Italie)

C’est une des institutions spécialisées de l’ONU

But de la FAO : améliorer l’alimentation des populations en oeuvrant en faveur du développement agricole, d’améliorer les conditions de vie des populations rurales, d’éliminer la famine et la malnutrition.

La commercialisation des produits alimentaires et agricoles, des produits forestiers et de la pêche, entre aussi dans ses attributions.

La FAO intervient auprès des gouvernements nationaux afin d’élaborer des stratégies nationales pour le développement rural et la lutte contre la pauvreté.

– Elle met en place des projets d’assistance technique

– elle centralise et diffuse l’information sur la question du développement agricole, de la gestion forestière.

L’Union européenne et 183 pays sont membres de la FAO.

Carte de la Faim dans le Monde (carte évolutive et animée)

Les quatre grands domaines d’activité de la FAO :

1) Mettre l’information à la portée de tous. La FAO sert de réseau de connaissances. Elle met à profit les compétences techniques de notre personnel – agronomes, forestiers, spécialistes des pêches et de l’élevage, nutritionnistes, experts en sciences sociales, économistes, statisticiens, etc. – afin de recueillir, analyser et diffuser les données utiles au développement. Son site Internet est visité un million de fois par mois, que ce soit pour consulter un document technique ou pour s’informer sur notre travail avec les agriculteurs. Elle publie, en outre, des centaines de bulletins d’information, de rapports et d’ouvrages, distribue des revues, crée de multiples cédéroms et accueille des dizaines de forums électroniques.

2) Partager l’expertise en matière de politiques. La FAO met au service des ses pays membres des années d’expérience dans l’élaboration de politiques agricoles, le soutien à la planification, la mise au point de lois efficaces et la création de stratégies nationales visant à atteindre les buts de développement rural et de réduction de la faim.

3) Servir de lieu de rencontre pour les Etats. Tous les jours, des dizaines de responsables et d’experts du monde entier se réunissent au siège ou dans nos bureaux de terrain pour établir des accords sur les grandes questions d’alimentation et d’agriculture. En tant qu’instance neutre, la FAO offre une tribune où les nations riches et pauvres peuvent se retrouver pour approfondir des thèmes d’intérêt commun.

4) Porter les connaissances sur le terrain. Son vaste éventail de connaissances est constamment éprouvé dans des milliers de projets de terrain dans le monde entier. La FAO mobilise et gère des millions de dollars provenant des pays industrialisés, des banques de développement et d’autres sources pour garantir que les projets atteignent leurs buts. Elle fournit les connaissances techniques et offre, dans certains cas, elle-même des financements. Dans les situations de crise, nous travaillons en parfait accord avec le Programme alimentaire mondial et d’autres organismes humanitaires pour protéger les moyens d’existence ruraux et aider les agriculteurs à se reconstruire une vie.

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OTAN : Evolution et Questions ?

En 1949, 10 Etats (aujourd’hui 26) ont scellé une alliance défensive face à la menace soviétique. Depuis la fin de la Guerre froide, l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord que l’on appelle couramment l’Alliance) est devenue une sorte de charte de principes moraux et politique et se caractérise par une instabilité récurrente bien que depuis le 11 septembre 2001, la seule finalité soit la lutte contre le terrorisme.

Le problème le plus important à l’heure actuelle semble être son inadéquation aux nouvelles formes de conflits et l’OTAN pose de sérieux problèmes stratégiques à l’Europe, face aux Etats-Unis qui tentent toujours d’imposer au monde leur conception stratégique. L’OTAN s’est totalement éloignée de ses objectifs originels qui correspondaient à une situation bipolaire du Monde durant la Guerre froide et qui n’est plus le cas à l’heure actuelle. Son élargissement peut faire peur dans le sens où elle peut intervenir n’importe où et n’importe quand dans des conflits régionaux. La Russie fait partie de l’OTAN depuis 1997 et l’élargissement se fait par partenariats et suivant différentes étapes.

Or, actuellement la France est un des principaux “partenaires” en matière financière et humaine (5 000 militaires dont 1 500 en Afghanistan).

La complexité est grande au niveau des relations internationales, sachant que l’Union européenne possède une Politique européenne de sécurité et de défense (PESD), projet consistant à développer une politique européenne indépendante, lancé par le Conseil européen de Cologne les 3 et 4 juin 1999. L’objectif principal de la PESD est de renforcer la capacité de l’Union européenne à agir à l’extérieur de l’UE en matière de prévention des conflits internationaux et de gestion des crises.

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Les Origines de l’OTAN

Le traité de Washington. Signé en avril 1949, il institue l’Organisation du traité de l’Atlantique-Nord (OTAN) entre les Etats-Unis, le Canada, les pays signataires à Bruxelles du traité de défense commune de 1948 (Belgique, France, Luxembourg, Pays-Bas et Royaume-Uni), et cinq autres pays d’Europe de l’Ouest (Danemark, Italie, Islande, Norvège et Portugal). Son article 5 précise : “Les parties conviennent qu’une attaque armée contre l’une ou plusieurs d’entre elles (…) sera considérée comme une attaque dirigée contre toutes les parties.”

Les opérations actuelles. 47 348 soldats de l’OTAN sont engagés en Afghanistan, 16 331 au Kosovo, 165 en Irak, 684 en Méditerranée, 57 en Bosnie, 13 en Macédoine, 13 en Albanie, etc. (Le Monde)

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La France et l’OTAN :

Structure militaire. La France, sur décision du général de Gaulle, a cessé de participer aux commandements intégrés de l’OTAN le 7 mars 1966, pour recouvrer “l’entier exercice de sa souveraineté”, mise à mal, selon lui, par la présence de 28 000 soldats américains sur le sol français.

Un retour progressif. En 1995, elle a recommencé à siéger au comité militaire de l’OTAN, revenant ainsi progressivement vers la structure militaire intégrée. Cette évolution s’est confirmée en 2004 lorsque Paris a renvoyé des officiers au Shape, le quartier général allié en Europe.

Absente de deux comités. Paris ne participe ni au Comité des plans de défense (DPC), ni au Groupe des plans nucléaires (NPG). Leur importance est relative, mais le premier est le forum des décisions liées à la structure militaire intégrée. (Le Monde)

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L’organisation Météorologique Mondiale

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La création de l’OMM a contribué au progrès rapide des sciences météo-climatiques, des technologies connexes et de la coopération internationale. Cette évolution, s’est vite traduite par la mise en place de systèmes opérationnels d’envergure mondiale pour la protection des personnes et des biens et l’atténuation des effets des catastrophes naturelles, ainsi que par la mise en oeuvre de toute une série d’activités socio-économiques menées au profit d’un développement durable défini comme le développement qui satisfait les besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs.
En 2000, l’Organisation des Nations Unies a affiné et recentré sa stratégie en faveur d’un développement social et économique respectueux de l’environnement en incitant ses membres à atteindre les objectifs de développement pour le Millénaire, à savoir la réduction de moitié du pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable, la résolution des problèmes de vulnérabilité, d’évaluation des risques et de lutte contre les catastrophes, y compris la prévention, l’atténuation des effets, l’organisation préalable, les interventions en cas de catastrophes et les opérations de relèvement après les catastrophes, le traitement des questions relatives aux changements climatiques, y compris la surveillance, la projection et la mise en oeuvre de stratégies pertinentes aux niveaux national, régional et international et la mise en place d’un partenariat mondial pour le développement.
Ces objectifs ont été développés dans le Plan de mise en uvre du Sommet mondial pour le développement durable (Johannesburg 2002).

Les progrès accomplis en ce qui concerne l’observation à distance à l’aide de Radars, de satellites et autres moyens de surveillance, le traitement des données et les communications ont permis de renforcer considérablement la compréhension scientifique des processus dynamiques et physiques qui se produisent dans l’atmosphère et les océans et de leurs interactions avec les autres composantes du système terrestre.Ces progrès ont débouché sur une amélioration sans précédent de la qualité et de l’exactitude des prévisions et des alertes météorologiques. Il est désormais possible d’établir des prévisions météorologiques déterministes sept à dix jours à l’avance dans les régions extra tropicales et trois à quatre jours à l’avance dans les régions tropicales.

Si cette évolution a grandement contribué au bien-être de l’humanité, il a cependant fallu faire face à de nouveaux problèmes, tels que la concentration accrue de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, le changement climatique, l’appauvrissement de la couche d’ozone stratosphérique, la raréfaction des ressources en eau douce et la pollution croissante de l’atmosphère et des eaux.

Parallèlement, l’aggravation des conséquences des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes – notamment des cyclones tropicaux, des inondations, des sècheresses et des vagues de froid ou de chaleur – dans plusieurs parties du monde fait peser une menace considérable sur le développement durable.

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SADC : Communauté de développement de l’Afrique australe

LES ORIGINES

La Conférence pour la Coordination du Développement de l’Afrique Australe, la SADCC, le précurseur de la SADC, la Communauté, a été crée en Avril 1980 par les Gouvernements de Neuf pays de l’Afrique Australe, à savoir de l’Angola, Botswana, Lesotho, Malawi, Mozambique, Swaziland, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe.

À partir de 1977, des représentants des États de la Ligne de Front ont mené des consultations actives qui ont abouti en une rencontre des Ministres des Affaires Étrangères des États de la Ligne de Front, tenue à Gaborone, en Mai 1979 lors de laquelle a été convoqué une rencontre des ministres chargés du développement économique.

Ces objectifs ont été poursuivis avec détermination et vigueur. À travers la SADCC, les pères fondateurs ont d’abord cherché à démontrer les avantages tangibles d’activités effectuées ensemble et à cultiver un climat de confiance parmi les États Membres.

Depuis, la SADC s’est développée devenant une organisation ayant un Programme d’Action, couvrant plusieurs secteurs d’ordre économique et social à savoir, L’Énergie, le Tourisme, l’Environnement et l’Aménagement des Sols, l’Eau, l’Exploitation Minière, l’Emploi et le Travail, la Culture, l’Information et le Sport ainsi que le Transport et les Communications.

D’autres secteurs sont les Finances et l’Investissement, le Développement des Ressources Humaines, l’Alimentation, l’Agriculture et les Ressources Naturelles, les Affaires Juridiques et la Santé. Chaque secteur est coordonné par un État Membre et quelques États Membres coordonnent plus d’un secteur.

La SADCC ou la conférence, a été établie ayant quatre objectifs principaux à savoir:

  • réduire la dépendance des États Membres, en particulier mais pas seulement, vis à vis de l’Afrique du Sud de l’apartheid
  • mettre sur pied des programmes et projets ayant un impact national et régional;
  • mobiliser les ressources des États Membres, en quête de l’autosuffisance collective; et garantir la compréhension et soutien international.

TRANSFORMATION DE LA CONFÉRENCE À LA COMMUNAUTÉ

Cette transformation a eu lieu en Août 1992, quand les Chefs d’État et de Gouvernement de la Conférence pour la Coordination du Développement de l’Afrique Australe se sont rencontrés à Windhoek, Namibie, pour signer une Déclaration et Traité créant la nouvelle Communauté de Développent de l’Afrique Australe – la SADC.

Les leaders de la SADCC étaient parvenus à la conclusion que même si la conférence de coordination leur avait été fort efficace et leur avait démontré le besoin crucial de coopérer dans le cadre de leurs efforts de développement, le moment était venu de donner un statut juridique et plus formel à l’Organisation.

Il y avait aussi le besoin de changer l’action principale de l’organisation, passant de la coordination de projets de développement vers une tâche plus complexe d’intégration des économies des États Membres. D’où le Traité que c’est le projet pour la construction d’une Communauté des États de l’Afrique Australe.

La SADC et ses États Membres sont sensés agir selon les principes suivants:

  • Égalité souveraine de tous les États Membres;
  • Solidarité, paix et sécurité;
  • Droits de l’Homme, démocratie et ’État de droit;
  • Équité, équilibre et avantages mutuels;
  • Résolution pacifique de conflits

Les objectifs de la SADC sont les suivants:

  • Atteindre le développement et la croissance économique, éradiquer la pauvreté, renforcer le niveau et la qualité de vie des peuples de l’Afrique Australe et soutenir les plus démunis socialement, par le biais de l’intégration régionale;
  • Développer des valeurs politiques, systèmes et institutions communes;
  • Promouvoir et défendre la paix et la sécurité;
  • Promouvoir le développement autosuffisant basé sur l’entraide collective, et l’interdépendance entre les États Membres;
  • Parvenir à une complémentarité entre des stratégies et programmes nationaux et régionaux;
  • Promouvoir et maximiser l’exploitation et l’utilisation productive des ressources de la Région;
  • Parvenir à une utilisation durable des ressources naturelles et à la protection effective de l’environnement;
  • Renforcer et consolider les affinités et liens historiques, sociaux et culturaux, de longue date entre les peuples de la Région.

Le principal objectif de la SADC – la Communauté – est donc d’édifier une Région où il y ait un grand niveau d’harmonisation et rationalisation pour permettre le rassemblement de ressources afin d’atteindre une autosuffisance collective afin d’améliorer le niveau de vie de la population de la région.

suite sur le website de la SADC

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UNOSAT (UN Institute for Training and Research (UNITAR) Operational Satellite Applications Programme)

est une agence onusienne qui travaille en coopération avec le UN Office for Project Services (UNOPS) et le CERN (European Organisation of High Energy Physics).

L’UNOSAT est un programme concentrant un grand nombre de personnes livrant des solutions, grâce à des images satellites, pour différentes organisations de développement, au sein des Nations Unies mais aussi à l’extérieur afin d’aider les communautés exposées à la pauvreté, à des catastrophes naturelles, à des risques ou affectées par des crises humanitaires.

C’est pourquoi, l’équipe de base de l’UNOSAT regroupe du personnel travaillant sur des champs diversifiés : experts sur l’analyse d’images satellites, géographes, géologues, experts en développement, programmeurs de base de données et  spécialistes en communication Internet. Cette pluridisciplinarité  donne l’ONUSAT la capacité de comprendre les besoins de leurs utilisateurs et permet de leur fournir des solutions appropriées, façonnées n’importe où et à tout moment.

L’UNOSAT a créé un réseau étendu de partenaires publics et d’associés privés et collabore avec les autres agences de l’ONU, notamment les agences spatiales ainsi qu’avec plusieurs initiatives internationales actives dans le domaine de la technologies satellitale.

Créé à l’origine pour exploiter entièrement le potentiel d’observation satellite de la terre, UNOSAT a développé des compétences dans des secteurs techniques supplémentaires, comme la navigation satellite et les télécommunications et examine aujourd’hui l’avenir de solutions intégrées.

Le but de l’UNOSAT est, à partir des images satellites, de fournir des informations géographiques facilement accessibles à l’ensemble des agences onusiennes et aux experts à travers le monde entier qui travaillent à la réduction de l’impact des crises et des désastres et oeuvrent pour le développement durable.

Les 3 axes principaux de travail de l’UNOSAT sont les suivant :

1) Produire de l’information concrète, tangible et utilisable : cette phase passe par l’acquisition et le traitement de données satellites, par l’analyse et les observations pouvant être utiliser par les partenaires et les bénéficiaires et le travail de développement au niveau national et communautaire.

2) Dans but a été créé, en 2003, un nouveau service de configuration rapide humanitaire qui est aujourd’hui entièrement développé et a été activé plus de 100 fois par l’ONU et des agences de coordination. Ce travail implique l’acquisition très rapide et le traitement d’images satellites et de données pour la création de carte et de couches SIG afin de donner une réponse rapide aux secours humanitaires sur place, dans le cas de crises et de catastrophes (équipes de l’UNDAC, missions d’évaluation d’impact, évaluations de dégâts, etc).

3) Développement de projets nationaux et internationaux : un nombre croissant de projets reçoivent l’appui d’UNOSAT pour la planification territoriale stratégique et promue par des applications SIG. . L’expertise accumulée par l’équipe technique possédant une expérience des champs diversifiés permet de fournir un apport technologique au développement local.

4) Développement et mise en oeuvre de modules et de programmes de formation : ces programmes peuvent parfois inclure la conception et la réalisation de SIG et des centres cartographiques qui peuvent continuer à exister après la conclusion d’un projet de coopération, par exemple comme des centres de géoinformation, financièrement indépendants.

Exemple : Rapport sur les incidents de piraterie au large des côtes de Somalie en janvier 2008

Source : UNOSAT

Cette carte illustre les incidents de piraterie le long de la côte de Somalie du 1er janvier au 24 avril 2008. Les évènements de 2005 à 2007 sont également représentés. Ils sont tous classés en 7 types de pirateries en fonction du degré de ces actes.

8 réflexions sur “Organisations Internationales et ONG

  1. l’onu est organisation qui est la bien venue dans le monde et surtout en Afrique.Parce que,si vous immenginez comme moi le nombre de d’enfant que sauve l’onu

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  2. Bonjour,

    J’appartiens à la fondation Casques Rouges qui organise vendredi 16 octobre une conférence à Science Po Paris sur le thème de l’action humanitaire à l’heure du changement climatique.

    Cette conférence sera présidée par Nicole Guedj, ancien ministre et Président de la Fondation Casques Rouges, entourée de :
    – Marie-Claire Daveu
    Directrice de cabinet de la Secrétaire d’Etat à l’économie numérique et à la prospective
    – Patrick Aeberhard
    Ancien président de Médecins du Monde et Professeur associé Université Paris 8
    – Christian Troubé
    Rédacteur en chef de La Vie, auteur de « L’humanitaire, un business comme les autres ? » (Ed. Larousse)
    – Marc-Antoine Pérouse de Montclos
    Chercheur à l’Institut de Recherche pour le Développement, Directeur de l’Observatoire de l’action humanitaire, auteur de « L’aide
    humanitaire, aide à la guerre ? » (Ed. Complexe)
    – François Gemenne
    Chercheur à l’Institut du Développement Durable et des Relations Internationales et maître de conférences à Sciences Po

    Philippe Martinat, Grand reporter au service politique du journal Le Parisien animera le débat.

    Nous pensons que cette conférence pourrait à la fois vous intéresser et intéresser vos lecteurs.

    Vous pourrez retrouver plus d’informations sur notre site : http://www.casques-rouges.org/fr/news/le-16-octobre-les-entretiens-des-casques-rouges-%C3%A0-sciences-po.

    N’hésitez pas à m’appeler si vous avez la moindre question sur notre évènement.

    Cordialement,

    Aline Mayard
    01 55 55 89 23

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